Ministère de l'agriculture et de l'alimentation
En 2006, les traitements phytosanitaires sur le colza sont de l’ordre de six doses homologuées. C’est une des grandes cultures qui utilise le plus de pesticides à l’hectare. L’usage des insecticides explique ce niveau élevé des traitements phytosanitaires.
Six traitements phytosanitaires sont appliqués en moyenne sur le blé tendre en 2006. Avec une réduction des doses et davantage de mélanges qu’en 2001. Et de fortes disparités régionales.
Les superficies des cultures annuelles et des prairies se stabilisent depuis dix ans. Leurs alternances deviennent aussi moins fréquentes dans les parcelles. De grosses disparités régionales subsistent.
Les techniques culturales visant à réduire les pollutions par les nitrates peinent à s’imposer dans les parcelles de maïs grain. Elles sont toutefois davantage utilisées dans les zones vulnérables.
Le non-labour s’étend car il permet d’économiser du temps, de diminuer le coût des semis et de réduire l’érosion des sols. Il est plus pratiqué sur les cultures d’hiver que de printemps.
Cet article propose un « état des lieux » des exploitations agricoles spécialisées en grandes cultures à partir des données 2000 et 2005 du réseau d’information comptable agricole (RICA).
Cet article propose un « état des lieux » des exploitations agricoles tirant une part substantielle de leurs recettes de la vente de betteraves sucrières, à partir des données 2005 du réseau d’information comptable agricole (RICA).
Les surfaces agricoles laissent plus de possibilités pour élaborer de l’éthanol à partir du blé ou de la betterave que pour les huiles de colza ou de tournesol remplaçant le gazole. Ces productions dégageront des coproduits pour l’alimentation animale.
Malgré une perte d’importance, le secteur de la canne à sucre garde une place significative dans l’agriculture et l’industrie agroalimentaire en Guadeloupe.
En 2005, la politique agricole commune attribue 945 euros par hectare de grandes cultures en Camargue et 550 dans les Landes, pour une moyenne nationale de355 euros à l’hectare. Les rendements « de référence » et les assolements de l’année expliquent ces différences.
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