Les excédents d’azote d’origine agricole se sont accrus de 1995 à 1997 en raison d’une extension des surfaces cultivées et d’une augmentation des doses d’azote minéral à l’hectare. Mais les apports d’azote organique régressent grâce à une réduction du cheptel bovin. Les plus forts surplus azotés demeurent localisés en Bretagne et dans les zones de grandes cultures du Bassin parisien.