Alors que l’on aurait pu penser que l’essor de la consommation de masse se traduirait par une relative uniformisation des habitudes alimentaires, on observe encore des différences notables entre les consommations des différentes catégories sociales : l’alimentation pèse plus lourd dans le budget des ménages les plus modestes et les produits les plus consommés ne sont pas les mêmes.